Lucile(L'amour est dans le pré) : ce nouveau grand cap franchi par sa fille, Capucine Lucile l'amour est dans le pré ce nouveau grand cap franchi par sa fille capucine dimanche 7 [Musique] ceux qui se sont rencontrés dans la quinziÚme saison de l'amour est dans le pré n'ont pas perdu de temps dÚs la fin des tournages de l'émission lui s'ils cessent
Lecouple rĂ©vĂ©lĂ© dans la saison 15 de l'Ă©mission de M6 a partagĂ© la nouvelle sur Instagram ce mardi 12 octobre. , lâagriculteur lyonnais et la Bretonne viennent dâannoncer la naissance de leur petite fille, dont le prĂ©nom nâa pas (encore) Ă©tĂ© dĂ©voilĂ©, ce mardi 12 octobre.
UntitledFactory by Lucile Travert (Art Contemporain) - du jeudi 12 décembre 2019 au dimanche 22 décembre 2019 - Untitled Factory, Paris, 75018 - Toute l'info sur l'evenement
EntreĂ la ComĂ©die-Française le 01 juin 1997. Alexandre Pavloff commence par Ă©tudier lâart de la scĂšne Ă lâĂcole supĂ©rieure dâart dramatique de Paris avant de se former au Conservatoire national supĂ©rieur dâart dramatique dans les classes de Daniel Mesguich et Jacques Lassalle. EngagĂ© comme pensionnaire de la ComĂ©die
Lucileet Jérome, Jons, Rhone-Alpes, France. 18,993 likes · 27 talking about this. Suivez nous sur cette page officielle. Merci à tous pour votre soutient et
Vay Tiá»n TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chá» Cáș§n Cmnd. Alors que JĂ©rĂŽme et Lucile sont dĂ©jĂ trĂšs occupĂ©s avec les prĂ©paratifs de leur mariage, ils ont trouvĂ© le temps de mettre en boĂźte un nouveau projet ! Leur bonne fĂ©e Karine Le Marchand y a mĂȘme participĂ©. Sur Instagram, le couple en a dit plus sur le sujet. JĂ©rĂŽme et Lucile ont dĂ©cidĂ©ment bien fait de participer Ă Lâamour est dans le prĂ©. Les tĂ©lĂ©spectateurs ont suivi leur belle histoire en 2020 et depuis, ils sâĂ©panouissent toujours autant lâun avec lâautre. Mieux encore, lâagriculteur et sa moitiĂ© ont dĂ©jĂ agrandi leur famille en accueillant leur fille Capucine en octobre 2021. Deux mois plus tard, en dĂ©cembre, JĂ©rĂŽme demandait Lucile en mariage. La cĂ©rĂ©monie doit avoir lieu cet Ă©tĂ© et le couple est actuellement en plein dans les prĂ©paratifs. La jeune femme a mĂȘme dâores et dĂ©jĂ eu droit Ă son enterrement de vie de jeune fille. Le planning est donc chargĂ© depuis un petit moment et pourtant, dans le secret, JĂ©rĂŽme et Lucile ont rĂ©alisĂ© un autre projet. Sur Instagram, ils ont rĂ©vĂ©lĂ© sâĂȘtre adonnĂ©s Ă lâĂ©criture dâun livre intitulĂ© Les recettes de JĂ©rĂŽme et Lucile, dont la sortie est prĂ©vue Ă la rentrĂ©e 2022. Comme son nom lâindique, les ex-candidats de M6 espĂšrent conseiller au mieux leurs fans pour manger gourmand et sain. Et surprise, Karine Le Marchand a apportĂ© sa petite touche. En effet, comme on le remarque sur la couverture, il est Ă©crit que lâanimatrice de Lâamour est dans le prĂ© a Ă©crit la prĂ©face. Merci Editions Leduc, merci Julien The Access, merci Karine Le Marchand. Et surtout, merci Ă vous tous, pour tout votre amour qui nous accompagne depuis maintenant bientĂŽt 2 ans, depuis nos premiers pas Ă 2, vous ĂȘtes les premiers tĂ©moins de notre amour⊠On vous aime , se sont rĂ©jouis JĂ©rĂŽme et Lucile en lĂ©gende de leur publication. A travers un autre post, Lucile expliquait avoir dĂ©veloppĂ© un vĂ©ritable amour pour la cuisine depuis sa rencontre avec JĂ©rĂŽme, et surtout depuis lâarrivĂ©e de leur fille dans leur vie. JĂ©rĂŽme a eu une Ă©ducation culinaire avec la vie Ă la ferme depuis tout petit grĂące Ă sa maman. Il mâa montrĂ© le chemin comme il sait si bien le faire avec beaucoup dâamour et de patience. Et puis tout a pris une nouvelle dimension avec Capucine. Cuisiner est devenu beaucoup plus Ă©vident et naturel pour moi comme une nĂ©cessitĂ© de transmettre Ă notre fille le fondement de notre rencontre. Alors non je ne suis pas une grande cheffe, mais je prends maintenant du plaisir Ă dĂ©couvrir de nouveaux goĂ»ts », avait-elle confiĂ©. Les internautes ont rapidement fĂ©licitĂ© le couple pour ce nouveau projet en commentaires.
Publi-reportage Eleveurs bio Ă Bas-en-Basset, Florence et JĂ©rĂŽme Dousson, du GAEC des Doux Sons, ont amĂ©nagĂ© un atelier de dĂ©coupe Ă Basset » et proposent dĂ©sormais la vente de produits directement Ă la ferme. InstallĂ©s depuis 2004, Florence et JĂ©rĂŽme Dousson sont Ă la tĂȘte dâun Ă©levage de vaches allaitantes de la race limousine et de 15 montbĂ©liardes pour du veau de lait. LabellisĂ© en agriculture biologique, le GAEC des Doux Sons vend 100 % de sa marchandise en direct, soit sur les marchĂ©s de Haute-Loire, soit directement Ă la ferme Ă partir de cette semaine. La vente directe en plein essor Depuis le premier confinement, les deux agriculteurs ont vu la consommation se transformer avec une mise en avant des circuits courts, de lâĂ©leveur au consommateur. PrivĂ©s de marchĂ©s pendant quelques semaines, ils sâĂ©taient mis dans la livraison. Des soldats de lâalimentaire comme certains les surnommaient alors. Quatre marchĂ©s par semaine Ils continuent de faire les marchĂ©s le mercredi Ă Saint-Germain-Laprade, le jeudi Ă Laussonne, le vendredi Ă Aurec-sur-Loire et le samedi Ă Monistrol-sur-Loire. Mais Ă partir de cette semaine, on peut aussi aller acheter la viande directement Ă la ferme, sur un bĂątiment agricole situĂ© Ă Basset », chemin de Chiroux. Vue directe sur les bĂȘtes Dans une ancienne salle de traite, un laboratoire a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©, valorisant ainsi un bĂąti existant. Les bĂȘtes sont toujours abattues Ă Yssingeaux mais les produits sont dĂ©sormais transformĂ©s au sein mĂȘme de lâexploitation. Et un espace de vente a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©. Une fenĂȘtre donne directement sur la stabulation oĂč les limousines et leurs veaux sont confortablement installĂ©s au chaud, sur la paille. Le couple Dousson joue la transparence sur ses mĂ©thodes et donne lâoccasion au consommateur de dĂ©couvrir lâenvironnement des bĂȘtes. Des produits sous vide pour faciliter la conservation On peut rĂ©server sa viande ou se rendre Ă la ferme le mardi aprĂšs-midi pour disposer dâun choix total des produits. La transformation se fait le jour mĂȘme. Nous avons arrĂȘtĂ© le marchĂ© de Bas, nous proposons dĂ©sormais la vente Ă la ferme pour les gens du coin. » Tous les produits sont mis sous vide sauf demande contraire, ce qui facilite la conservation. Le mardi pour commencer et le vendredi aux beaux jours Dans un premier temps, la vente se fera le mardi Ă partir de 15 heures puis 18 heures dĂšs lors quâon ne parlera plus de couvre-feu ou de confinement. Et aux beaux jours, on pourra aussi acheter sa viande le vendredi en fin de journĂ©e, en prĂ©vision des barbecues. On fera des brochettes », promet JĂ©rĂŽme Dousson. Contact Florence au 06 26 82 87 64
Il y a quelques mois dâici, ce jardinier nâavait encore jamais mis les mains dans la terre⊠Depuis le printemps, il a multipliĂ© les constructions de bacs potager et s'est essayĂ© Ă la culture de nombreux lĂ©gumes, avec un succĂšs qu'il n'avait pas imaginĂ©. Sa passion ne cesse de croĂźtre et pourrait, Ă ce rythme, devenir le futur mĂ©tier de JĂ©rĂŽme. Ă 37 ans, cet habitant de Lanaye, dans la commune de VisĂ©, s'est dĂ©couvert une passion pour le potager. Il passe des heures Ă bricoler de nouveaux bacs surĂ©levĂ©s afin de cultiver de plus en plus de lĂ©gumes destinĂ©s avant tout Ă nourrir ses proches. Ă lâheure oĂč la cueillette des potirons n'est pas encore terminĂ©e, il en est dĂ©jĂ Ă 600 kilos de lĂ©gumes rĂ©coltĂ©s, fruit de son travail acharnĂ© ces derniers mois. Et son projet est en train de prendre de plus en plus dâampleur, Ă tel point que le pĂšre de famille pense tout doucement Ă se reconvertir dans ce secteur. âJâai dĂ©marrĂ© un projet de potager surĂ©levĂ© au fond de mon jardin au mois de mars, nous a Ă©crit JĂ©rĂŽme via le bouton orange Alertez-nous. Jây ai construit 3 bacs de 6m x 1,70m et 1 bac de 4m x 1,20m. Ils sont remplis avec du bois, de lâherbe, de la paille, du broyĂąt, et je termine par du vieux compost, il nây a donc pas de terre proprement dit. Jâai créé une page Facebook, et petit Ă petit, jây ai ajoutĂ© des photos. Jâai Ă©tĂ© vite dĂ©bordĂ© de demande en lĂ©gumes, ce qui mâa fait agrandir de 5 bacs supplĂ©mentaires". Et ce nâest quâun dĂ©but ! Tout commence au printemps dernier, lorsque lâouvrier dans lâaĂ©ronautique, se retrouve au chĂŽmage forcĂ© puisque lâentreprise qui lâemploie est Ă lâarrĂȘt suite au confinement. Il visionne alors de nombreuses vidĂ©os de jardinage sur YouTube, ce qui lui donne envie de se lancer. Parmi les vidĂ©os qu'il regarde chaque soir, il est interpellĂ© par les images de potagers installĂ©s sur les toits de Paris. Cette idĂ©e est aussi alimentĂ©e par sa rĂ©flexion quant Ă notre maniĂšre de consommer. âPendant le confinement, on a eu envie de manger mieux. Les tomates de supermarchĂ© nâont pas de goĂ»t, câest rempli dâeauâ, lance-t-il. Il a alors envie de produire lui-mĂȘme ses lĂ©gumes. Il a du temps devant lui, et l'espace suffisant dans son jardin pour se lancer. Les 4 premiers potagers Le jardinier en herbe met pratique son projet grĂące aux matĂ©riaux qu'il peut rĂ©cupĂ©rer dans un jardin en friche Ă cĂŽtĂ© de chez lui. "Chez mon voisin, il y avait des tas de terreau vieux de 10 ans ainsi que du bois. Il m'a laissĂ© me servir", raconte JĂ©rĂŽme. Nous sommes alors au printemps 2021 et le trentenaire se lance dans la construction des 4 premiers potagers surĂ©levĂ©s. "Les quatre premiers sont maçonnĂ©s car il s'agit de potagers prĂ©vus pour durer 'Ă vie'. J'en ai conçu trois de 5 mĂštres et demi de long et 1 mĂštre et demi de large. Ils font 80 cm de haut pour permettre un accĂšs facile. Le 4e, un peu plus petit, fait 40 cm de haut et possĂšde un toit pour que les tomates soient Ă lâabri des intempĂ©ries⊠GrĂące Ă cela, je n'ai pas eu le mildiou", note JĂ©rĂŽme. Pour remplir ses bacs, il utilise la technique de lasagnes, comme celles pratiquĂ©es en permaculture. Il s'agit de superposer les diffĂ©rentes couches de matĂ©riaux en dĂ©composition sur lesquelles on plante directement. "J'ai utilisĂ© tout ce que jâavais comme dĂ©chets organiques et j'y ai ajoutĂ© le vieux compost rĂ©cupĂ©rĂ© chez le voisin. Jâai tout paillĂ© et jâai plantĂ© des potimarrons, potirons, tomates, butternut, etc. Tout a super bien pris !", explique le jardinier. Il ne met donc pas de terre Ă proprement parlĂ© dans les 4 premiers potagers surĂ©levĂ©s, privilĂ©giant cette technique de la "butte vivante". Ce qui permet de ne pas devoir mettre de terre, c'est l'utilisation du "vieux compost" rĂ©cupĂ©rĂ© dans le jardin en friche Ă cĂŽtĂ© de chez lui. "DĂšs que j'ai mis un coup de pelle dedans pour remplir la premiĂšre brouette, j'ai vu des dizaines de vers de terre", commente-t-il encore. La prĂ©sence de vers de terre en dit long sur la richesse de cette terre que le jeune homme n'a qu'Ă ramasser pour mettre en place son projet. Cela demande beaucoup de travail, mais tout est Ă portĂ©e de main. TrĂšs concrĂštement, il remplit d'abord ces 4 bacs de bois de rĂ©cupĂ©ration buches et branches trouvĂ©es chez le voisin. Il y ajoute ensuite du broyat il s'agit de branchages broyĂ©s en petits morceaux, "pour combler les trous entre les branches", explique-t-il. Il met ensuite de la paille, du foin et le compost. Il y met mĂȘme directement ses dĂ©chets de cuisine, qu'il enterre. "Ăa composte trĂšs rapidement", commente-t-il. Tout cela lui prend "un temps fou", reconnait JĂ©rĂŽme, mais il ne regrette rien lorsque, quelques semaines plus tard, il compte 65 potirons en train de murir et plus de 160 courgettes ! ©Le potager de Lanaye Une page Facebook et un intĂ©rĂȘt croissant pour son potager Fier du beau potager en devenir qu'il construit, JĂ©rĂŽme créée une page Facebook et trĂšs rapidement, plusieurs personnes de son entourage et de son village lui demandent d'acheter des lĂ©gumes. Dans un premier temps, il privilĂ©gie le troc "Jâai demandĂ© aux gens de me laisser leurs dĂ©chets de cuisine et ils venaient me les dĂ©poser. Je leur ai proposĂ© de prendre des lĂ©gumes en Ă©change", raconte encore le jardinier. Tomates, potimarrons, potirons, butternuts, courgettes, haricots, radis, poireaux⊠il cultive tout ce qu'il peut et tombe rapidement Ă court de place, d'autant que la demande augmente pour bĂ©nĂ©ficier de ses lĂ©gumes grĂące Ă la notoriĂ©tĂ© qu'il acquiert dans son village, Ă Lanaye, mais aussi sur Facebook oĂč sa page attire aujourd'hui plus de 1700 abonnĂ©s. Parmi eux, bon nombre de clients potentiels pour ses lĂ©gumes. 5 bacs supplĂ©mentaires JĂ©rĂŽme dĂ©cide alors de construire 5 bacs de plus pour rĂ©pondre Ă la demande. Il les fabrique en bois mais face au coĂ»t Ă©levĂ© des matiĂšres premiĂšres et notamment du bois, il doit diminuer un peu la hauteur. Il fabrique des potagers de 40 cm de haut, mais avec la possibilitĂ© de les rehausser par la suite. Il les remplit de restes vĂ©gĂ©taux par exemple, les plants de haricots en fin de saison, de paille, et de terre vĂ©gĂ©tale. Cette fois, comme il est Ă court de vieux terreau du voisin, il commande de la terre enrichie en compost pour les remplir. Il y ajoute ensuite des vers de terre "Je les recueille dans les autres bacs et je les ajoute aux nouveaux afin qu'ils fassent de l'humus". Les vers de terre assurent la fertilitĂ© du potager. Ils recyclent les matiĂšres organiques et labourent sans cesse la terre. LĂ oĂč il y a des vers, c'est que la terre est de bonne qualitĂ©. ©Le potager de Lanaye ©Le potager de Lanaye ©Le potager de Lanaye Une cagnotte participative pour aller plus loin Pour donner un coup de pouce Ă son projet, JĂ©rĂŽme lance alors une cagnotte sur la plate-forme participative Miimosa. Il y inscrit plusieurs objectifs/Ă©tapes afin de permettre de financer l'agrandissement de sa "micro-ferme". Les personnes qui apportent une contribution financiĂšre reçoivent en retour un panier de lĂ©gumes du potager de Lanaye. Cette cagnotte lui a dĂ©jĂ permis de fabriquer 10 bacs en bois supplĂ©mentaire, courant septembre. Les contributeurs ont pu venir visiter le potager de JĂ©rĂŽme le week-end dernier, lors d'une journĂ©e de rencontre. Prochains objectifs il veut installer une serre, puis 10 bacs potager de plus. JĂ©rĂŽme a jusqu'Ă prĂ©sent privilĂ©giĂ© l'Ă©change et s'est constituĂ© une clientĂšle potentielle "Je ne vends pas grand-chose pour le moment, jâessaye de rĂ©cupĂ©rer mes graines, d'Ă©changer, de parler avec les gens, de me faire connaitre. Jâai envie que les gens mangent bien", lance-t-il avec optimisme. Des projets mais pas trop vite Le Lanayen adore d'ailleurs voir ses deux petits garçons dĂ©vorer ses lĂ©gumes tout juste cueillis dans le potager. Il envisage un jour d'arrĂȘter de travailler pour faire de sa passion son mĂ©tier, mais il ne veut pas brĂ»ler les Ă©tapes. Il pourrait dĂ©jĂ vendre ses paniers de lĂ©gumes mais tant que tout n'est pas en place, il n'y pense pas trop. Le jardinier construit d'abord sa micro-ferme grĂące aux contributeurs, Ă©tape par Ă©tape. "Je ne veux pas tout de suite arrĂȘter de travailler. Je veux dâabord passer Ă 4/5e ou Ă mi-temps. Je prĂ©fĂšre perdre 500 euros mais mâoccuper de mon potager et voir mes enfants grandir", explique le jeune papa. D'ici le printemps prochain, il compte construire 10 bacs supplĂ©mentaires pour arriver Ă 30. Il aimerait aussi installer une serra afin d'y faire pousser des lĂ©gumes ayant besoin de davantage de chaleur comme les poivrons et les piments. Il aimerait Ă©galement acheter des coureurs indiens. Il s'agit d'une espĂšce de canards particuliĂšrement friands de limaces, souvent ennemis du potager. "Ils vont pouvoir passer entre les bacs mais pas aller dans les bacs. Ils vont ainsi rĂ©guler la population autour des bacs et jâen aurai dâoffice moins", prĂ©cise-t-il. Pourquoi des potagers surĂ©levĂ©s ? Pour qu'ils ne fassent pas trop dĂ©gĂąts aux plantations, il compte Ă©galement rehausser tous les bacs potagers de 40 Ă 60 cm de haut. Le fait de surĂ©lever ses potagers comporte de sĂ©rieux avantages. "Premier avantage contre mal de dos, câest la raison principale. Il ne faut plus se baisser autant. Ăa permet de travailler plus prĂ©cisĂ©ment aussi. Et puis ça Ă©vite la pousse d'adventices NDL, souvent appelĂ©es mauvaises herbes. Sur chaque bac, je fais un paillage avec du pellet de lin et cette fine couche en plus d'un arrosage va crĂ©er une croute qui permet d'Ă©vite la pousse des adventices", prĂ©cise le jardinier. Enfin, ces potagers en hauteur permettent bien moins aux limaces d'arriver jusqu'aux lĂ©gumes. La saison prochaine, les canards l'y aideront encore plus. De beaux projets attendent encore JĂ©rĂŽme pour les mois Ă venir, et face Ă tout le travail dĂ©jĂ accompli, JĂ©rĂŽme se rĂ©jouit de sa rĂ©colte alors que la saison des courges et potirons n'est pas encore terminĂ©e, il en est Ă plus 600 kilos de lĂ©gumes produits dans ses potagers surĂ©levĂ©s. Sur sa page Facebook et grĂące Ă la cagnotte participative, il a aussi reçu de trĂšs nombreux encouragements. "Tout le monde veut mes lĂ©gumes, parfois, je ne connais mĂȘme pas les gens. Je ne pensais pas avoir tant de monde qui adhĂšre. Les gens posent plein de questions, jâexplique le projet et direct ils adhĂšrent et ils donnent plus parce qu'ils se rendent compte du travail qui a Ă©tĂ© accompli. Câest pour ça que jâai fait la cagnotte. Et derriĂšre, je suis honnĂȘte, je fais des 'live' sur Facebook pour montrer aux gens ce que jâavais fait de lâargent qui a Ă©tĂ© investi", conclut le jardinier. ©Le potager de Lanaye ©Le potager de Lanaye
Il est l'heure de faire le bilan ! Lundi 7 dĂ©cembre, M6 a diffusĂ© la premiĂšre partie du bilan de "L'amour est dans le prĂ© 2020", l'occasion de retrouver l'un des couples emblĂ©matiques JĂ©rĂŽme et Lucile. Sont-ils toujours ensemble ? Ils se sont confiĂ©s Ă Karine Le Marchand. Entre JĂ©rĂŽme et Lucile, c'est une Ă©vidence depuis le dĂ©but. DĂšs l'ouverture du courrier, le maraĂźcher et cĂ©rĂ©alier en Auvergne-RhĂŽne-Alpes de 37 ans a eu un coup de coeur pour la jeune femme de 31 ans, directrice d'un centre de SPA. Elle a donc Ă©tĂ© l'un des premiers choix de JĂ©rĂŽme pour le speed-dating et lĂ , coup de foudre ! L'alchimie Ă©tait palpable lors de leur rencontre et chacun a eu bien du mal Ă retenir ses larmes aprĂšs le rendez-vous. La prĂ©tendante a mĂȘme expliquĂ© qu'elle avait l'impression d'avoir rencontrĂ© l'homme de sa vie. Sans surprise, elle a donc Ă©tĂ© choisie pour venir Ă la ferme, Ă l'instar d'Alicia, une belle bretonne de 29 ans. S'il a un court instant changĂ© de favorite, JĂ©rĂŽme a compris que Lucile Ă©tait celle qu'il lui fallait aprĂšs son baiser volĂ©. Une fois seuls, ils se sont donc laissĂ©s aller et ont passĂ© directement une premiĂšre nuit ensemble. La jeune femme a prolongĂ© son sĂ©jour Ă la ferme pour profiter davantage de son compagnon et lors de la venue de JĂ©rĂŽme chez elle, ils ont pris la dĂ©cision d'emmĂ©nager directement ensemble et de ne pas mettre longtemps avant de mettre bĂ©bĂ© en route, seulement cinq semaines aprĂšs leur rencontre. Tout leur souriait en somme. Face Ă Karine Le Marchand, on constate rapidement que l'amour est toujours au beau fixe. Le couple, en se remĂ©morant son conte de fĂ©e d'aventure, se couvre de compliments, de mots d'amour et de regards complices. JĂ©rĂŽme et Lucile en sont mĂȘme trĂšs Ă©mus. "C'est une Ă©vidence, c'est incroyable", rappelle Ă plusieurs reprises l'agriculteur. Des souvenirs drĂŽles reviennent Ă©galement sur le tapis comme lorsque JĂ©rĂŽme a malencontreusement loupĂ© l'arrivĂ©e de Lucile chez lui. "La classe hein", ironise sa belle. "Ce fut l'occasion pour moi de dĂ©couvrir une personne de caractĂšre", tente de relativiser avec humour de son cĂŽtĂ© JĂ©rĂŽme. Trois mois aprĂšs la fin du tournage, Lucile s'est parfaitement bien intĂ©grĂ©e Ă son nouvel environnement en travaillant Ă ses cĂŽtĂ©, Ă la vente. "Elle est incroyable, d'aprĂšs le maraĂźcher. Je me suis rendu compte rapidement qu'une prĂ©sence fĂ©minine, c'est essentiel". TrĂšs investie, elle a Ă©galement apportĂ© sa petite touche dans l'entreprise de son homme et c'est peu dire que les affaires roulent ! Bref, les amoureux sont sur un petit nuage. Ils peinent Ă retenir leurs larmes tant ils sont heureux. Ils n'attendent plus qu'une chose fonder une famille ! "Parler amour, mariage, enfants... on voit l'avenir", se rĂ©jouit JĂ©rĂŽme. "J'avais perdu une partie de mon Ăąme et je l'ai retrouvĂ© avec JĂ©rĂŽme", dĂ©clare Lucile bouleversĂ©e. Ce qui ne manque pas de faire pleurer Karine Le Marchand. Du cĂŽtĂ© des audiences, cette premiĂšre partie du bilan de L'amour est dans le prĂ© 2020 a attirĂ© en moyenne 4,16 millions de tĂ©lĂ©spectateurs, soit 19,3% de part de marchĂ© auprĂšs de l'ensemble du public. Le record de cette raison. Sans surprise, M6 Ă©tait sur la premiĂšre marche du podium.
Laurent et CĂ©line Couve accueillent des stages Ă©questres, offrent du camping Ă la ferme et proposent aux visiteurs de suivre les travaux agricoles, la traite manuelle le matin. Tenir le pis fermement, serrer en haut, puis presser pour faire sortir le lait⊠Cela paraĂźt simple, surtout quand on voit Laurent Couve, de la ferme Ă©questre du Mazel Ă Antrenas, sâoccuper de sa vache vosgienne, Iana. Le lait coule Ă jet continu dans le seau. Pas si facile quand on prend sa place. Tous les matins, lâagriculteur propose aux stagiaires du centre Ă©questre, aux vacanciers de son camping Ă la ferme, ou aux touristes de passage, de suivre cette traite Ă lâancienne. Mais, pour respecter les visiteurs, la vache et son veau sont priĂ©s dâattendre 9 h quand dâhabitude, les choses se passent un peu plus tĂŽt ! Le travail Ă l'ancienne Ă cĂŽtĂ© de la cinquantaine de montures de la ferme Ă©questre, chevaux, poneys et Ăąnes, Laurent et CĂ©line Couve Ă©lĂšvent aussi quelques vaches, vosgiennes ou aubracs, des brebis lacaune et des chĂšves du Massif Central, roves ou alpines. La visite permet donc de dĂ©couvrir ces animaux. Le couple produit actuellement du lait pour la consommation de la ferme, mais souhaiterait dâici un ou deux ans, produire suffisamment pour une transformation fromagĂšre et de la vente directe. "Nous avons pour objectif de crĂ©er un atelier. Nous avons beaucoup de passage, nous aurons la clientĂšle", explique Laurent Couve, qui aime Ă perpĂ©tuer les traditions de la ferme, Ă retrouver lâautonomie dâantan et travaille uniquement en traction animale. Culture de cĂ©rĂ©ales anciennes Prochainement, il devrait moissonner avec un cheval et une javeleuse, puis utiliser une vieille lieuse quâil est en train de restaurer. "Fin aoĂ»t, dĂ©but septembre, nous ferons la fĂȘte de la batteuse, avec un cheval toujours. Câest un cycle complet puisque nous faisons notre pain." Le four du hameau sera alors allumĂ© une semaine Ă lâavance. Sur lâexploitation, des cĂ©rĂ©ales anciennes sont cultivĂ©es petit et grand Ă©peautre, blĂ© rouge de Bordeaux. "Historiquement ici, câĂ©tait plutĂŽt du seigle. On a un rendement cent fois infĂ©rieur aux exploitations classiques, sâamuse Laurent Couve. Mais, nous avons des convictions et nous trouvons ça chouette. Bien sĂ»r, ce que lâon fait aujourdâhui ne pourrait pas nourrir le monde." Partager sa passion Le message passe auprĂšs des visiteurs attentifs. Des pratiques qui ne nourrissent plus la planĂšte mais qui ne la polluent pas non plus. Ceux qui viennent jusquâau Mazel, apprĂ©ciant ce petit coin de paradis, ne peuvent quâacquiescer. Laurent Couve poursuit, se fait trĂšs pĂ©dagogique, explique les estives sur lâAubrac et la transhumance. Il partage sa passion du territoire avec gĂ©nĂ©rositĂ©. Un moment privilĂ©giĂ©.
jérÎme et lucile vente à la ferme